Les Amis d’Al-Rowwad

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Adhérer à l’association

Le montant de l’adhésion est 20 euros/ an ou de 10 euros pour les étudiants ou les demandeurs d’emploi.

- Vous pouvez adhérer en ligne : cliquez pour adhérer via la plateforme HelloAsso.
Remarque : Hellasso vous demandera un pourboire pour la transaction. N’oubliez pas de régler le montant du pourboire afin de ne pas dépasser 2% du montant, environ 50cts pour une adhésion normale.

- Vous pouvez adhérer via le bulletin papier : envoyer le bulletin avec votre règlement. TELECHARGER LE BULLETIN PDF ICI.

Faire un don à l’association

Organiser les tournées culturelles, envoyer des bénévoles sur place, éditer des livres... autant de projets qui ne peuvent se faire sans vos dons.

- Don en ligne : utiliser pour faire un paiement en ligne 100% sécurisé.
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- Dons régulier :

Formulaire de prélévement

nous vous proposons de faire établir un prélèvement mensuel de quelques euros seulement pour couvrir les frais de fonctionnement du centre Al Rowwad. Utiliser pour cela le formulaire PDF ci contre.

L’association est indépendante et ne reçoit aucune subvention ; les frais de fonctionnement sont très réduits , inférieurs à 5% des sommes collectées. Dans ces frais sont comptabilisés les envois postaux, les charges ( faibles) de la boutique, l’assurance, les fournitures.

Agir en France

Mille et une manières, certaines déjà en place d’autres que vous inventerez.

* En lien étroit avec LES AMIS D AL ROWWAD :

- acheter et promouvoir les produits vendus à la Boutique et en particulier les vêtements de la ligne PALEXTILE

-  tenir une permanence à la Boutique les jours d’ouverture soit le mercredi de 14 à 18 heures et le samedi de 11à 19 heures. Recevoir et vendre à une clientèle variée et en général très amicale : militants, touristes habitants du quartier ! Mais aussi décider les choix des achats et, si l’occasion se présente, tenir un stand dans une fête, un marché, un forum.

-  traduire des textes ou documents ; recenser, mettre à jour les livres, DVD traitant de la question palestinienne. Faire connaître les livres, brochures et DVD soutenus ou réalisés par l’association.

-  créer et diffuser l’information et présenter les actions de l’association : site internet, newsletter, facebook. Exposer les panneaux des deux séries : Images for Life et Les Broderies palestiniennes et peut être une troisième sur la Nakba.

- organiser les tournées : une année minimum est nécessaire pour élaborer la fiche technique, le programme ; affiner les parcours, coordonner les dates et les lieux, trouver les salles adaptées, prévoir les hébergements, envisager les aléas, réunir les , distribuer les documents.

-  rechercher de contacts : les besoins des centres de théatre sont divers mais on retrouve pour tous la demande de formation de techniciens du spectacle, de stages de perfectionnement, de créations collectives et d’invitation à des festivals.

-  rencontrer les élus locaux sympathisants

- collecter des fonds en privilégiant les donateurs pérennes.

- créer un groupe local AL ROWWAD

Mais aussi :

-  témoigner de la réalité de l’occupation palestinienne : présence et appel à rassemblements, manifestations, collectifs.

-  prendre des initiatives et collaborer à l’organisation de manifestations régionales.

-  dénoncer les arrestations dites « sécuritaires « mais en réalité abusives ; soutenir les prisonniers palestiniens et appuyer les démarches pour leur libération en particulier celle de AMER MAKHOUL.

-  détecter toutes les formes d’occupation y compris les plus insidieuses ( récupération de sites archéologiques, transformation de terrains palestiniens en lieux historiques, cimetières juifs…).

- soutenir la campagne BDS durement attaquée en utilisant la loi française sur la discrimination à son profit.

Agir en Palestine

- partir comme bénévoles pour une durée variable.
Attention l’arabe palestinien a des particularités ; certains de nos partenaires sont francophones, tous sont anglophones. Vous serez logés dans une Guest House ou dans une famille : le coût est modeste.

Que faire ?
Les demandes sont éclectiques : théâtre, danse, musique, langues,cirque, maquillage, lectures, écriture, photo ou vidéo... mais aussi plus inattendues comme le développement durable, le design ou la cuisine.
Le méthodes employées sont diverses : sessions de formation ; ateliers ; participation aux tournées régionales en bus ; improvisations théatrales : play back- théatre ;

- coopérer à une création artistique : écriture de textes, traduction, mise en scène...

- participer au projet PALEXTILE : élaborer les modèles, juger les prototypes calculer le coût "légitime" car les brodeuses sont payées au point !

ACTUALITES

  • La mention « colonie israélienne » obligatoire pour les aliments, selon l’avocat de la CJUE

    Selon l’avocat général de la Cour de Justice de l’Union européenne, dont l’avis est le plus souvent suivi en dernière instance par les juges, le consommateur doit être informé lorsqu’un produit alimentaire provient des colonies israéliennes.
    L’affaire remonte à 2016, quand le gouvernement français a publié un avis aux opérateurs économiques indiquant que les denrées alimentaires en provenance des territoires occupés par Israël devaient porter la mention « colonie israélienne » ou des termes équivalents. (...)

  • Appel à action : Non à une résolution par l’assemblée nationale condamnant la critique de l’état d’Israël !

    LE SAVIEZ VOUS ?
    Le député Sylvain Maillard, président du groupe d’études sur l’antisémitisme, a proposé à d’autres députés de voter une résolution visant à assimiler la critique légitime du régime israélien à de l’antisémitisme.
    Contactez vos députés pour leur demander de s’opposer à cet amalgame honteux !
    ECRIVEZ A VOS DEPUTES dont l’adresse est ici :
    http://www2.assemblee-nationale.fr/qui
    Le texte de cette résolution est consultable ici : Proposition de résolution définition IHRA (mai 2019).
    Il est (...)

  • "RSF, sans foi ni loi", par Jacques-Marie Bourget

    Le 21 octobre 2000, à Ramallah, tandis qu’une balle de M16 israélien volait avec ardeur vers mon poumon gauche, j’ai eu le temps de me dire : « Bon, je vais au tapis mais, merci le diable et Robert Ménard, Reporters Sans Frontières sera là pour me relever ». En cas de malheur, quand vous êtes journaliste, « correspondant de guerre » comme ils disent, vous êtes imprégné, instruit du total support que vous pouvez attendre de l’ONG sans frontières. Très mal en point mais même pas mort, j’ai pu constater (...)